Un Bobo chez Napalm Death
Quand je débarque à vélo, sous une pluie battante, devant la Maroquinerie, j’ai l’impression d’arriver dans une de ces espèces de banlieues futuristes contrôlées par des clodo/bikers houblonophiles. Je regrette immédiatement de m’être coupé les cheveux il y 10 ans,… Continuer la lecture